Scionzier est un fleuron de l’industrie du décolletage mais pas que ! Si la ville est la patrie de l’industrie, elle réserve également de très belles surprises. Entre usines, shopping, nature et culture, venez découvrir les joyaux que seule cette ville sait vous offrir.
Je dis OUI à l’Industrie
L’histoire de Scionzier, ou Schonvy pour les gens d’ici, est étroitement liée à celle de la vallée : autrefois territoire des Chartreux, la commune est devenue un haut-lieu de l’industrie locale qui fait la fierté de tout chonverot qui se respecte. Ce n’est quand même pas pour rien si la mairie s’appelle la maison de l’Industrialité et si les membres de l’harmonie municipale sont surnommés « les enfants de l’Industrie » !
Et au milieu coule une rivière
Le développement de Scionzier est lié à l’eau. Traversée par la rivière « le Foron », la ville a su utiliser sa force hydraulique pour produire de l’électricité et alimenter les machines qui serviront dans l’horlogerie puis le décolletage.
Au XVIIIème siècle, les paysans du coin fabriquent de toutes petites pièces mécaniques pour les horlogers suisses, leur permettant ainsi de bénéficier d’un complément de revenu.
Grâce à ces paysans-horlogers, Scionzier devient la reine de l’horlogerie. Puis fin du XIXème, la production dépasse ce domaine et devient le décolletage. Rien à voir avec le décolleté et la lingerie : les entreprises de décolletage produisent aujourd’hui des pièces pour de nombreux secteurs (aviation, automobile, téléphonie, médical) qu’elles exportent dans le monde entier.
De la bonne Zik en stock
Le festival Musiques en stock a posé ses valises à Scionzier depuis 2022. Les élus ont toujours été amoureux de l’événement et ont souhaité le faire revivre, pour le plus grand bonheur de la Vallée.
Toujours gratuit et découvreur de talents, Musiques en stock réunit chaque année plus de 20 000 festivaliers durant 3 soirées, début juillet.
Retrouvez le festival le plus engagé de la Vallée de l’Arve, qui nous avait tant manqué !
Miam les meringues !
Envie d’une petite douceur ? Quoi de mieux qu’une meringue chantilly enrobée de chocolat de la boulangerie Grand ?
Fabrice est tombé dedans quand il était petit : à 8 ans il passait tout son temps dans les pâtisseries chonverotes à apprendre les trucs et astuces pour concevoir de bonnes douceurs sucrées.
Aujourd’hui, avec sa compagne Gwenaëlle, ils ont à cœur de tout faire maison : de la farine au pétrissage, tout est local. Leur credo : faire plaisir aux gens. Et cela même s’ils doivent se lever à deux heures du matin tous les jours !